Into the wild (méga chiatique) de sean penn

Résumé: un égoiste fini qui ne supporte plus sa famille décide de partir vivre en pleine nature en alaska


Mon avis: au bout de 15 minutes, on pouvait entendre des râles profonds émanant de ma place MAIS malheureusement pour moi je me suis réveillée et j'ai subi cette daube pendant au moins les 2 heures qui restaient (qui en paraissaient 18 tellement cette histoire est passionnante)

400 avis positifs contre 16 avis négatifs sur allociné.... Je soupçonne quand même sean penn d'être en grande dépression rapport à son récent divorce (pondre une daube pareille pas d'autres explications) et je soupçonne ces fameuses 400 personnes de ne pas avoir osé dire qu'elles s'étaient emmerdée comme des rats crevés vu le caractère véridique et tragique de cette histoire.
Niveau casting c'est pas le top non plus mais je remercie quand même william hurt pour mon fou rire devant sa pitoyable scène finale (pour ceux qui ont vu hopkins et sa crise cardiaque dans légende d'automne...c'est encore plus mal joué!c'est peu dire....)

le héros est inexistant il a l'air complètement stupide et toutes les personnes qu'ils rencontrent sont dépourvues d'intérêt. on notera la grosse morale à deux francs cinquante "le bonheur ne vaut que si il est partagé" YEAH on ressort transformé poil au nez!
pour une seule phrase était il vraiment utile de nous pondre un film aussi chiatique qui dure trois plombes??????

pour ceux qui préfèreraient se ranger du côté des 400 personnes, ou qui d'un seul coup auraient envie de faire un arrêt sur image histoire que leur vie paraisse plus longue... Je vous aurais prévenue

Pour les personnes rencontrées seul RON le vieux tire son épingle du jeu.

mention rigolade devant la hippie -3 de qi assez ridicule qui est vraiment limite du genre à ne pas savoir enlever deux années à son année de naissance pour se vieillir de deux ans... -2! waouw quel piège!
et le petit arrêt sur image du genre pin up à deux francs voyant un "mâle" je passe sur le dialogue percutant de leur rencontre
pétasse se pointant devant nunuche qui est on le précise à un stand ou il vend des
dialogue percutant de pétasse:
"tu vends des ?"
non pétasse il fait semblant! réponse de l'autre culcul:
Oui!"

Non mais arrêtez je ne me remettrai pas devant une telle profondeur de dialogue avec le bon jeu d'acteur qui colle bien
regard de panthère avec arrêt sur image pour pétasse qui a gravement l'air ridicule et le héros on oublie carrément parce qu'on l'imagine aisément sortir de sa campagne profonde bien texane boudiou de boudiou!

inutile de dire que devant cette niaiserie accablante je me suis laissée aller à quelques fous pas bien placés mais quand on se fait autant chier devant un film on a franchement envie de se divertir un peu....

Que tu n' as aimé pas le film je suis d'accord.

Mais critiquer comme ça un film avec des arguments valable pour un élève de collège et qui plus est sans fondement je trouves cela ridicule ma pauvre fille !

Il n'y a pas que un seul message dans ce film, il n'y a pas que " le bonheur n'est réel que quand il est partagé " mais bon vu les deux messages inutiles que tu viens de poster au dessus il ne m'est pas étrange que tu n'es pas tout vu dans ce magnifique film.

Enfin bon des comme toi il y en a plein, donc je t'en veux pas tu n'es pas le seul être sur terre a être doté d'une minuscule intelligence et d'une si faible logique et capacité a étudier un film !

a bon entendeur, ZitooN

( PS: si par hasard tu essayes de me répondre ne cherche pas à le faire je ne regarderais pas, c'est comment dire ... inutile comme tes deux messages ;) )

Citation :

Un marginal sur la route pour aller à la rencontre de lui-même. On peut y reconnaître Sean Penn


Tout juste diplômé de l'université, Christopher, 22 ans, est promis
à un brillant avenir. Tournant le dos à l'existence confortable et sans
surprise qui l'attend, le jeune homme prend la route en laissant tout
derrière lui.


Et maintenant? Les meilleures perspectives s'offrent au jeune
Christopher. Tout juste diplômé de l'université, il n'aura que
l'embarras du choix dans les postes encadrés que lui vaudront ses
nouvelles compétences. Mais à la grande surprise de ses
parents, il se choisit un autre chemin. Délaissant tout confort
matériel, il entreprend un voyage sur la route. A la rencontre des
autres et de lui-même. D'étape en étape, entre Dakota, Californie,
Colorado, Alaska pour parcourir des milliers de kilomètres, il découvre
sans vouloir s'y attacher des agriculteurs, des retraités, des
aventuriers, des hippies. Autant de personnages hauts en couleurs dont
il partage le quotidien avant de repartir sans prévenir. Toujours
solitaire, au risque sûrement de perdre en route une partie du public
lassé par tant de dépouillement. C'est une histoire vraie, et
on imagine forcément combien elle a pu séduire et fasciner Sean Penn,
producteur, scénariste et metteur en scène, lui-même héritier de
l'Amérique de Kerouac et grand protagoniste d'un « vivre autrement ».
On le devine lui-même dans les pas de Christopher, le marginal habité
par l'impressionnante prestation du jeune Emile Hirsch. Un tempérament
fort et audacieux, exigeant et audacieux, rebelle à toute concession
dans ses convictions et ses engagements. Un adepte du tout ou rien qui
ira jusqu'au bout de sa logique et de son intransigeance, quand bien
même devrait-il y trouver une issue tragique. Il y a d'un bout
à l'autre du périple de grandioses environnements saisis par la sublime
photo d'Eric Gautier, César en 1999 pour Ceux qui m'aiment prendront le train
de Patrice Chéreau. Mais on y verra surtout le portrait d'un homme
soucieux de vérité et d'authenticité, fuyant dans cette aventure la
somme de mensonges, d'hypocrisies et de reniements qu'a été sa vie en
famille. Idéaliste jusqu'à la folie.

voici le vrai résumé . Have Fun ;p

Je me suis inscrit sur ce forum,
Tout spécialement, pour témoigner de mon profond désaccord…


Peut-être également pour dire,


Que je suis tout à fait à l’opposé de votre réaction si
négative (et si injuste)…


Le film de Sean Penn est certainement, en ce qui me
concerne,


Un des plus beaux films que l’Amérique du Nord à pu
produire,


Ces cent dernières années…


Et je pèse bien mes mots…


Enfin,


Un souffle nouveau…


Mais comme d’habitude,


Le nouveau est toujours inhabituel,


Donc mal apprécié…

Citation :

Mani
Soleil Noir



Nombre de messages: 4599
Age: 38
fonction:: créatrice/auteur/illustratrice
Date d'inscription: 27/05/2005

Moi je me suis inscrit sur ce forum, tout spécialement, pour préciser la repartie de Mani a 38 ans.

cinemanc a écrit:

Je me suis inscrit sur ce forum,
Tout spécialement, pour témoigner de mon profond désaccord…


Peut-être également pour dire,


Que je suis tout à fait à l’opposé de votre réaction si
négative (et si injuste)…


Le film de Sean Penn est certainement, en ce qui me
concerne,


Un des plus beaux films que l’Amérique du Nord à pu
produire,


Ces cent dernières années…


Et je pèse bien mes mots…


Enfin,


Un souffle nouveau…


Mais comme d’habitude,


Le nouveau est toujours inhabituel,


Donc mal apprécié…

Vous avez aimé ce film tant mieux, il en faut pour tous les goûts... J' en général les films de Sean penn et les histoires vraies mais là... Non vraiment je n'ai pas accroché du tout du tout. L'acteur est extrêmement désagréable en plus, pas touchant pour un sou. Je vais arrêter là parce que nos avis sont définitivement opposés au sujet de ce film. D'ailleurs le côté "souffle nouveau" m'a échappée.... Par contre râles profonds au dernier rang c'était moi